Les « blessures invisibles », souvent indicibles, qualifient le traumatisme psychique. Ceux qui ont perdu des proches dans la guerre, qui ont vu tout détruire autour d’eux et en eux, leur maison, leur vie, leur avenir ; ceux qui ont fui, condamnés à l’exil brutal, à l’abandon, à la peur ; ceux qui ont été blessés, amputés, exclus, tous doivent vivre en plus avec des « blessures invisibles ». Un mot à la mode et fourre-tout, résilience, exprime comment l’humain peut parvenir à survivre à tous ces traumatismes.
Le CICR mène dans 38 pays, 77 programmes de santé mentale et de soutien psychosocial. Une centaine de professionnels essayent au quotidien de réduire la détresse psychologique de patients traumatisés. Illustration à travers trois témoignages recueillis au Nigéria, au Liban et à Gaza.
« Les blessures invisibles » affectent également le sauveteur. Le fameux stress post traumatique décrit tout d’abord chez le soldat dès le début du XXème siècle avec l’essor de la psychiatrie militaire affecte aujourd’hui nombre de travailleurs humanitaires. Ancien délégué CICR, le Dr Barthold Bierens de Haan, psychiatre et pionnier de la prise en charge des « blessés invisibles » revient sur l’histoire du traumatisme du sauveteur et de ses différentes racines.
Ces crimes de Daech a Skikda en Algérie en Irak et dans le monde et ces guerres en Irak en Syrie en Yémen pour satisfaire satan si les terroristes Daech et Boko Haram en Algérie en Irak en Syrie en Libye en Mali en Tunisie en Afghanistan en Nigeria et dans le monde ne posent par leurs armes et l’Onu ne met pas fin a ces guerres le 2 Août 2018 ALLAH met fin a satan par un cataclysme si la fin du monde Août 2018 aux non musulmans de se convertir a l’islam pour éviter l’enfer.