C’était le weekend dernier, à Avallon dans l’Yonne, dans un grenier tout encombré d’oubli. C’était une mémoire mise en caisses saupoudrée de poussière et de sciure xylophage. La mémoire silencieuse de gens disparus, il y a longtemps forcément.
Et dans le fatras de fringues mitées, de magazines souricés, de choses inutiles et d’outils bruns de rouille il était une cagette.
Elle abritait la parfaite panoplie d’une infirmière de la Croix-Rouge Française, trousseau daté de fin 44 et en partie doté par la Croix-Rouge américaine…
Seuls manquaient à l’appel la coiffe et l’insigne de l’infirmière. Son identité aussi…
D’un peu plus c’est toi qui le trouve à Chevillon …..
C’est spectaculaire de retrouver des objets et choses datant de la guerre ces gens la infirmières et soldats étaient merveilleux de bravoure et courage magnifique trésor de trouver de tels objets bl
A Monsieur ou Madame le journaliste.
Avant d’écrire un article on prends le soin de vérifier ses dire.
Infirmière? pourquoi pas infirmier ?
1944 ?? Avec des allumettes et de l’aspirine française ? Je rappelle juste qu’en 44 tout ce qui pouvait être utilisé par les allemand avait été bombardé et rebombardé.
Tout simplement un e trousse de secours de l’armée française de 1940..
Mais ça, c’est moins vendeur.
L’information, commence par la vérification.
Bonne journée.
La pharmacie est française elle porte le nom des laboratoires .Je reconnais aussi les allumettes qui sont un produit soumis à la régie .Le propriétaire pouvait faire partie de la défense passive qui existait pendant la guerre .
ces choses m’intéresse dites moi qui vous êtes SVP
je suis bénévole pour la croix rouge et ma maman a été engagée croix rouge en 1940 je la représente avec son uniforme dans une association donnez moi vos
coordonnées SVP
Mais que de passionLyvon. Et tant mieux. Ce que l’on voit sur la photo générale (en haut et à droite), un tissu à rayures bleu et blanc. Il s’agit d’un tablier seyant, certes, mais très peu porté par les hommes. Nous pouvons alors raisonnablement parler d’une infirmière. Quant à la datation exacte de ce trousseau, rien n’interdit de penser qu’il est antérieur à 1944 (effectivement la plupart des articles sont issus de pharmacies civiles ou militaires françaises) mais le savon et le bandage « américains » renseignent sur une utilisation post débarquement. Reste à trouver la coiffe, l’insigne et l’identité de cette infirmière. On va y arriver