Samedi dernier fut studieux… A Paris, dans l’amphithéâtre Foch de l’Ecole Militaire, on jugeait l’abominable criminel de guerre, Alban Doufaki. Doufaki… Doufaki… inconnu au bataillon. Et pour cause il s’agissait d’un procès fictif, une Cour pénale internationale pour de faux où étudiantes et étudiants en droit s’affrontaient en joutes oratoires, qui pour la défense, qui pour l’accusation du sombre ministre de l’Intérieur et de la Défense de la Cusitanie…

A l’initiative de la Croix-Rouge Française, cette Journée du Droit international humanitaire a réuni les délégations locales Croix-Rouge d’Anthony et d’Issy-les-Moulineaux, le Groupement des Ecoles d’Administration de l’Armée de l’air, l’Ecole de guerre, l’Ecole d’Administration Militaire, les Ecoles de Saint-Cyr Coetquidan, l’Université de Montesquieu – Bordeaux IV, l’Université Paul Cézanne – Aix MarseilleIII, l’Université de Nanterre, l’Université Panthéon-Assas – Paris II, l’Université Paris-Est Créteil Val-de-Marne, l’Université de Lille II, l’Université de Lyon III et l’Institut Bioforce.