Les terribles conséquences humanitaires du conflit en Israël et à Gaza et la saturation de l’espace médiatique qui en découle, pousse le CICR à expliquer son rôle singulier d’intermédiaire neutre.

Auteur et gardien des Conventions de Genève, socle du droit international humanitaire, le CICR intervient dans les libérations d’otages et de prisonniers, mais également auprès de la population de Gaza. Négociateur strictement humanitaire, ayant la confiance des 196 Etats parties aux Conventions de Genève, il défend la cause de toutes des victimes.

Toute action du CICR se fonde sur le droit international humanitaire

Depuis le 7 octobre, l’organisation appelle à la libération de tous les otages, au respect de la population civile et des infrastructures vitales et entretient un dialogue permanent et confidentiel avec toutes les parties aux conflit ; la confidentialité étant le sésame éprouvé de l’avancée de négociations. L’action du CICR lors des libérations d’otages et de prisonniers, a été particulièrement visible lors de l’actuelle trêve conclue par les parties.

Afin de mieux comprendre son rôle dans les conflits armés, voici, sur une série de « questions-réponses » sur l’enjeu crucial de l’accès humanitaire aux victimes :

  • À qui incombe-t-il au premier chef de répondre aux besoins de la population civile lors d’un conflit armé ?
  • Quelles sont les principales règles du droit international humanitaire (DIH) relatives à l’accès humanitaire ?
  • Comment les États peuvent-ils s’assurer que les secours ne sont pas détournés à des fins militaires ?
  • Le DIH impose-t-il de garantir un « accès sûr » au personnel de secours humanitaire ?
  • Quelles obligations incombent-elles aux tiers en matière d’accès humanitaire ?

Les réponses sont à retrouver ici