[All the information regarding the ICRC Humanitarian Visa d’or Award are available here]
L’an passé avait vu la victoire à l’unanimité d’un jeune photojournaliste syrien réfugié en France, Abdulmonam Eassa, 24 ans, qui avait couvert de façon poignante pour l’AFP, la bataille de la Ghouta orientale à l’Est de Damas, enfer dans lequel il a grandi.
Aujourd’hui, Abdulmonam travaille en France en tant que pigiste pour différents médias. Il a récemment couvert la crise du Covid-19 et auparavant les Gilets Jaunes et plus globalement les mouvements sociaux depuis l’automne 2019.
Un concours pour professionnels
Si vous êtes photojournaliste professionnel et avez publié dans les deux ans un sujet illustrant « les conséquences humanitaires des villes en guerre », il vous est toujours possible de concourir.
Comme chaque année, le lauréat sera connu fin juin, Son travail sera exposé au Festival international de photojournalisme de Perpignan, Visa pour l’Image où il recevra son prix doté de 8000 euros. L’exposition sera ensuite proposée à Paris voire dans d’autres villes courant 2021.
Pour participer, retrouvez toutes les informations ici.
Découvrir aussi les travaux des précédents lauréats du Visa d’or humanitaire du CICR. Attention certaines images peuvent heurter votre sensibilité.
Merci Frédéric de partager ces photos si poignantes, parlantes, si pleine d’émotion, d’humanité… et de nous faire connaître ce jeune photographes témoin, médiateur qui nous fait partager les souffrances des uns et les luttes des autres… Important pour retisser les solidarités et les luttes.
Merci Patrick pour ton message et ton soutien. A bientôt pour de vrai 😉 !